Je pensais ce matin aller faire quelques photos du défilé, saisir les reflets joyeux du soleil frappant les casques rutilants des braves, mais c'était hier en fin d'après midi, c'est ballot, et puis il n'y avait de toutes façons pas de soleil ce matin, c'est double ballot !
En fait de casques je m'amuse en général avec les trombones, ou les tubas, c'est pareil, de la fanfare !
Histoire de marquer le coup je suis alors passé Place Broglie shooté le seul truc de révolutionnaire dans la quartier.
J'ai bien du photographier ce monument des dizaines de fois, mais je n'étais pas sûr de pouvoir retrouver les photos.
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Ce n'est pas l'oeuvre originale du sculpteur Alfred Marzolff qui date elle de 1922, et qui a a été détruite par les teutons en 40. Cette mouture a été reconstituée dans les années 80 par les ateliers de l'oeuvre Notre Dame.
Donc non, cette sculpture ne date de 1792 comme je l'ai entendu un jour de la bouche très assurée d'un touriste.
Tout ça manque de couleurs, revenons à la prise de la Bastille, celle de Jean-Pierre Houël que je me permet de densifier un peu, c'est bon pour mon moral, et aussi de rendre un peu plus furieuse, merde c'est la Révolution que diable !
De toutes façons je n'ai jamais vu cette toile ( une petite huile de 39 x 51 cm), et sur le web on trouve toutes les teintes et tous les grains. Et puis de nos jours, je suis sûr que JP ferait de la BD ...
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«La Prise de la Bastille», par Jean-Pierre Houël (1789)
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C'est l'occasion de réviser un peu d'histoire.
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