dimanche 11 décembre 2016

Les amours du poète


Un bien étrange sculpture !
Celle-là se dresse à quelques mètres du Pavillon Joséphine dans le Parc de l'Orangerie.
Je n'y avais jamais prêté attention. Elle m'est tombée dans l'objectif tout à l'heure ...

Fontaine de Jean Claus, «Les amours du poète » réalisée en plyesther et fibres de verre en 1993.

Et alors, épouvantail, croquemitaine, sorcière, revenant, lépreux, monstre marin, alien, MAM dans 20 ans, Casimir en fin de vie, virus mutant, abus de coke ?
Et ces têtes avec des ailes, non mais allô quoi ? Et puis pourquoi est-ce qu'elles lui sortent de la bouche ? Je dis la bouche, mais on n'en sait rien. C'est peut-être son trou de balle à la chose, ou sa narine, ou un autre orifice inconnu des Terriens.

Mais des considération plus poétiques ont bien sûr inspiré cette création, qui se veut un hommage à Schuman et à Henrich Heine pour «Les amours du poète», une série de chants composés par le premier sur des textes du second.
Personnellement, si c'est pour faire de tels cauchemars, je ne suis pas prêt de lire de l'Heinrich ou d'écouter du Schuman.

Je la trouve un peu morbide cette oeuvre ...


2 commentaires:

  1. En fait c'est un éléphant rose qui a bleui avec le temps...
    En tous cas il y a de la substance illicite là-dessous. Peut être de la meth ? ;-)
    ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. Morbide, je ne sais. Mais originale , oui !

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