Je remercie Géhem de ses efforts pour m'aider à me soulager de cette saloperie de Macronite qui me gratte tout partout depuis Dimanche. Oui, là aussi et c'est bien gênant.
Je ne veux pas médire, mais si Macron rime avec morpion, d'abord ce n'est pas de ma faute, et c'est quand même bien un signe que la France va mal.
Seulement, des conseils avisés de mon cher blogopote je n'en ai pas encore tout a fait fini avec celui de Dimanche. ( Voir plus bas sur le blog au 7 mai dans Moment d'égarement )
D'ailleurs, chuutt, je suis là incognito.
La police est en effet toujours à la recherche du pervers, un quinquagénaire mal rasé de race blanche au regard torve selon quelques témoins, et qui en fin d'après midi de ce triste jour déambulait dans les rues en brandissant une fourchette à huîtres et en criant miaou miaou pour attirer les chats des mamies du quartier et leur crever les yeux.
On ne peut décidément plus rien faire dans ce pays !
Quoi qu'il en soit les propriétaires des greffiers désorbités sont aimablement conviées à se rendre rapidement au commissariat pour récupérer les mirettes de leur matou. Les frigos sont plein et ça commence à râler, à sentir aussi.
Géhem comprendra donc que je vais attendre un peu pour appliquer sa recommandation du jour. L'eau bouillante, c'est quoiqu'on en dise quand même très chaud.
Si vous ne comprenez pas de quoi il retourne, allez mater chez Géhem, je ne livre pas les recettes des petits copains, non mais !
Il y a aussi que j'ai croisé tout à l'heure un type qui avait lu Géhem avant moi et qui a voulu essayer ...
Moralité : Se prendre pour un pot de confiture n'est pas danger. |
Ça, pour décoller, ça décolle qu'il m'a dit. Mais bon, je le sentais quand même un peu mitigé. Il a dit aussi qu'il ne retournerait pas sur le blog de Géhem. Ingrat va !
Je ne me formaliserai pas de son ingratitude, même s'il devrait plutôt me remercier de l'avoir définitivement débarrassé de la corvée du rasage quotidien. :o))
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